Juste une promenade :
Un zeste d’humour émaille le début de ce morceau, notamment sur sa valeur intrinsèque. L’occasion aussi de vous emmener pour une promenade, d’abris de bus en abris de bus, dans la ville de Caen … accompagnés de notre canapé et de sa fidèle lampe rouge.
Ce titre porte à réflexion , sur le fait d’exister, d’être là où nous en sommes, en sachant qu’un jour cela cessera. Une question philosophique qui est en quelque sorte intrinsèque à la condition humaine … » (Yann Halopeau, Ouest-France du 11/06/2021)
Paroles :
Comme la cellule d’une prison
On nous a mis là
Ne sachant jusqu’à quand
Attiré par la punition
De ceci de cela
Un petit châtiment
Je me demande souvent, ce que je fais là
Je me demande souvent quand cela cessera
Et les jeunesses passent
Le temps de l’insouciance
Des minutes qui s’enlacent
Quelques amours subsistent
Du peu que je m’en souvienne
Elles en valaient la peine
Je me demande souvent, ce que je fais là
Je me demande souvent quand cela cessera
Des images et un sourire
La couleur du bonheur
D’être passé par ici
Des larmes sans questions
Bientôt sur le départ
Survivra juste un nom
Je me demande souvent, ce que je fais là
Je me demande souvent quand cela cessera
La neige commence à tomber
Pour cacher les blessures
Éphémères et fragiles
Danse sans t’occuper de nous
Accepte ces jeunes mains
Ne sachant jusqu’à quand
Je me demande souvent, ce que je fais là
Je me demande souvent quand cela cessera