Griffures :

LEON NEIMAD : Griffures

« Quelques griffures, quelques blessures, sans lendemain … »

Paroles :

Pas du tout rien d’autres un sourire de façade
Douze étages qui s’écroulent, est-ce que toi aussi tu as pensé
L’espace d’un instant une espèce de sourire, notre espace est bien trop grand
Est-ce que toi aussi tu aurais aimé

Quelques griffures, quelques blessures, sans lendemain
On prend si vite l’habitude de ne plus résister
Frôler le gouffre pour sur sa vie se rassurer
Je suis bien vivant puisque je ne suis pas tombé

Apprendre à se taire pour ton sourire
Et conserver ton regard en guise d’étendard
Scruter ta planète pour trouver
Un lieu, un toit où il serait possible de nous plaire

Pas du tout rien d’autres un sourire de façade
Douze étages qui s’écroulent, est-ce que toi aussi tu as pensé
L’espace d’un instant une espèce de sourire, notre espace est bien trop grand
Est-ce que toi aussi tu aurais aimé

Et puis laisser sa vie aux mains expertes du hasard
Se contacter, se connecter de plus en plus tard
Est ce que toi aussi tu souffres de cette maladie bizarre ?
Est ce que toi aussi tu as douté

Pas du tout rien d’autres un sourire de façade
Douze étages qui s’écroulent, est-ce que toi aussi tu as pensé
L’espace d’un instant une espèce de sourire, notre espace est bien trop grand
Est-ce que toi aussi tu aurais aimé

Pas du tout rien d’autres un sourire de façade
Pas du tout rien d’autres un sourire de façade

Pas du tout rien d’autres un sourire de façade

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